Homogamie subie

tableau+témoigange+contre exemple

Un témoignage de la réalité, contre une réalité fictive 

"Je m´appelle Alice, j´ai  41 ans, et j´ai vécu une vie de désastres. Je suis née dans une famille paysanne, travailleuse et humble, qui m´incitait à travailler avec elle dès qu´elle me voyait passer sous ses yeux. Je n´avais donc pas le temps de faire mes devoirs, et mes professeurs me grondaient en disant "Si tu travaillais, tu aurais des bien meilleures résultats", et moi je savais que c´était vraie, parce que je comprenais les mathématiques plus rapidement qu´aucun autre élève. Ma dernière année au collège, je me suis dit que j´avais assez, puis je me suis isolée à clée dans ma chambre, en disant que j´était malade, pour pouvoir enfin étudier. Maintenant c´était ma famille qui me grondait, puisqu´elle ne me voyait que pour dîner. Mais moi je voulais bien réussir mon BREVET pour puvoir aller au lycée. Et bien, j´ai réussi. J´ai obtenu mention très bien à mon BREVET, puis j´ ai montré à ma famille de ce que j´étais capable. Par contre, ma famille ne le voyais pas comme ça, d´ailleurs, elle ne m´a même pas prêté attention lorsque le l´ai dis que je voulait faire mon lycée, pour ne pas parler d´une carrière universitaire. Elle ne voulait rien savoir. Seulement que je la réléve  J´ai ensuite accouru à mes professeurs, qui ont convaincu ma famille de "me laisser aller". 

J´ai eu mon BAC mention très bien, puis quand j´arrive mon premier jour à l´universté, tous mes plans se tordent. A coté de mon pupitre, se trouve un jeune homme ravissant, qui changera le cour de ma vie. A partir de ce moment là, je me suis dévié de mes études, du fait d´avoir centré mon attention à ce sujet. Je me suis soucié d´améliorer mon language et mon aspect physique, afin d´essayer de me mettre au niveau de ce jeune homme. Oui, c´est un de ces profils de jeunes riches et hautains, drôles et amusants, et bien beaux... Il m´a toujours regardé par dessous l´épaule, depuis le premier jour, mais depuis que j´ai commencé à prendre comme groupe de référence la classe sociale de mon admiré,il me parlait pour me demander mes notes. Cela veut dire qu´il considérait comme valables mes notes à moi. Finalement j´ai commencé par  lui plaire un peut plus. Il fesait de commentaires sur  les professeurs avec moi, puis on riait bien. Un des jours plus joyeux de ma vie, lorsqu´il m´a dit de l´accompagner au cinéma. J´étais très contente, mais lorsque la soirée est finie, il m´a invité chez lui, et je l´ai regreté... Mais à ce moment moi  je me sentais libre, hors pression parentale. Maintenant j´appartient á une autre société. Les jours passaient et ces soirées se repétait. J´était rieuse, par contre ça me choquait qu´il ne m´aille pas encore présenté aucun de ses amis ou familiers. On a finit ainsi la carrière, moi avec des résultats notamment plus bas de ce qu´ils auraient été sans distractions. Moi je rêvais du moment dans lequel il dirait, "allons vivre ensemble, toi et moi",mais non, tout continua pareil, même pire, puisqu´on s voyait moins. Je lui est donc intérrogé un jour sur ses intentions, et j´ai reçu comme réponse: "TOI et moi, vivre ensemble? Tu délires? Qu´est ce que tu pensais qu´on était, des âmes affines ou un truc de ce genre là? Que diraient mes amis, Alice,puis que dirait  ma mère?"

Je me suis enfermé chez mes parents pendant un moi entier, mais je n´appartenait plus à cet environnement là, même si j´essayait de me convaincre que si. Mais inutile, j´ai décidé de partir cherche le pain ailleurs. J´ai trouvé un travail dans une entreprise, mais pas comme je l´aurait pu obtenir,non, pas à ce niveau. Je me suis dis ensuite que j´étais assez des temps de lamentation,et j´ai décidé d´essayer d´ouvrir mon coeur à nouveau. Mais pas la personne adéquate se présentait. Je voulait une qui sâche me comprendre et me consoler, devant la suite de gâchis que j´avais semmé tout au long de ma vie, puis qui sâche de même haïr ces gens là comme moi je le fais. Je me suis donc adentré dans le monde de la techonologie et des nouvautés, et j´ai trouvé un homme qui répond à tout ces critères, puisqu´il a eu aussi des mauvaises expériences avec un patron.Et oui, il est ouvrier,et qu´est ce que ça peut me faire, pourvu qu´il m´aime, et que je l´aime?"

 

Chacun a des critères et de raisons déterminées lors de la recherche du conjoint. Quelques uns tombent amoureux de forme inattendue, un coup de foudre capable de traverser un coeur gelé par le deséspoir, ou même un richissime entrepreneur tombant amoureux d´une prostituée. Le coup de foudre protagonise des histoires comme Pretty Women, puis la grande majorité des films Disney. C´est l´opposition de deux mondes intégralement séparés, qui remarque que les barrières entre deux personnes n´existent pas, lorsqu´il y a de l´amour entre elles. Par contre, ce fait, est situé dans notre réalité comme un peux invraisemblable, du fait que les classes sociales de nos jours, sont très souciantes envers les regards des autres membres de sa classe. C´est à dire, que les individus appartenant à une classe sociale aisée, ne vont pas chercher un conjoint d´une classe qui ne le soit pas, il va chercher plutôt un couple de son même milieu social, parce que c´est convenable que ça soit ainsi. Depuis les temps mémorables, les familles décident ce qui est convenable ou non, selon les critères institués par leurs parents. Les mariages se fesaient normalement avec des conjoints de son même village, ou de son égal niveau sociale. Même dans les contes Disney, à la fin ça se passe ainsi, puisque malgré le coup de foudre entre Cendrillon et le Prince Charmant, nous découvrons à la fin du film la légitime noblesse cachée de la pauvre et chanseuse servante

 


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